
Alors que le lancement du futur Alfa Romeo Stelvio électrique est prévu pour le printemps 2026, après une présentation officielle attendue fin 2025, et que la nouvelle Giulia électrique suivra courant 2026, les détails techniques restaient jusqu’à présent rares. Désormais, de nouvelles informations concrètes nous permettent d’en savoir plus sur ces deux modèles phares de la marque italienne.
Une plateforme STLA Large pensée pour Alfa Romeo
Les deux modèles reposeront sur la plateforme STLA Large, ici dans sa version LP3. Développée conjointement entre les États-Unis et l’Italie, cette base technique annonce de grandes ambitions en matière de performance. Elle permettra notamment l’intégration d’une suspension équipée d’amortisseurs à contrôle électronique pour un équilibre optimal entre confort et dynamisme, une priorité pour Alfa Romeo qui souhaite conserver l’ADN sportif de ses véhicules.
Motorisations électriques
Produits dans l’usine Stellantis de Szentgotthárd en Hongrie, les moteurs électriques permettront différentes configurations : propulsion ou intégrale avec deux moteurs. Sur le papier, la puissance maximale atteindrait plus de 600 kW, soit 815 ch, avec un système de surpuissance temporaire inspiré du mode « Powershot » de la Dodge Charger Daytona électrique.
Néanmoins, en se basant sur les puissances de la Dodge, il est possible que la puissance soit de 250 kW par moteur, soit 250 kW avec un moteur en propulsion et 500 kW avec deux moteurs en transmission intégrale.
Jusqu’à 118 kWh de batterie
Les deux Alfa Romeo seront d’abord lancées avec une batterie de 85 kWh, avant l’arrivée d’une version Long Range dotée d’une batterie de 118 kWh. De quoi espérer une autonomie dépassant largement les 700 km selon les premières estimations internes, bien que les chiffres officiels soient encore attendus. On peut s’attendre à ce que les batteries, de technologie NMC, proviennent de la première gigafactory ACC.
Des prototypes en phase pré-VP

Actuellement, le développement de la Giulia et du Stelvio électriques en est à la phase pré-VP (Vehicle Production). Cela signifie que les véhicules disposent déjà de leur carrosserie définitive, mais sont encore assemblés sous forme de prototypes.
Décidément, ils ne comprennent jamais rien chez Stellantis, donc pour eux Alfa a droit en guise de motorisations soit à des bouses de chez Peugeot en versions thermique, soit à des piles ! MDR
Ont veux du thermique hybride pas de Alfa à pile
Pour les voitures électriques il faudrait arrêter de donner l’autonomie maximale, c’est à dire en ville,
mais au moins en trajet mixte et sur route et autoroute, sans se trainer à 110 km/h.
L’Alfa Romeo Junior Veloce m’intéresse, mais son autonomie sur autoroute à vitesse normale (c’est à dire plus de 130 km/h) avec quelques accélérations en sorties de péages me fait un peu peur, car j’ai pas trop envie de devoir m’arrêter tous les 150 à 180 kilomètres.
Le trajet d’Alexandre pour aller à Hockenheim à vitesse très raisonnable avec la Junior de 156 ch en dit beaucoup (200 kms d’autonomie au mieux).